Description

Présentation

Tous mes ours "teddys", lapins, chats, chiens et éléphants "vintage", pour n'en nommer que quelques uns, donc je continue en permanence à développer de nouveaux modèles sont des pièces uniques, très nostalgiques avec beaucoup de caractère et de personnalité. Je m'efforce de donner à mes créations un aspect vieillot, poussiéreux, une allure de vieux jouet utilisé, tout droit sorti d'une malle ayant longtemps séjourné dans un grenier. Quant aux matériaux utilisés, des éléments de vieux vêtements, des tissus usés, déchirés et rapiécés, d'anciens rubans de soie et des grelots rouillés. Le pelage de mes créations, mohair ou autre, est usé, épilé et patiné par mes soins, les yeux sont en verre ou en boutons de bottines, elles sont rembourrées de paille de bois, le tout accentuant leur aspect nostalgique et mélancolique, témoin d'un passé imaginé. Mes "teddys" me font sourire chaque fois que je les regarde et espère qu'il en sera de même pour vous. Au plus loin que je m'en souvienne, j'ai toujours aimé les objets anciens, les antiquités et fréquenté les brocantes et marchés aux puces. Je m'intéresse également à l'art et aux activités artistiques en général.


Introduction

Tous mes ours sont des créations originales inspirées de Teddy Bears anciens. Ils sont faits de mohair, bourrés de paille de bois et alourdis avec des billes d'acier pour leur donner une bonne assise. Les vêtements sont anciens ou alors confectionnés et vieillis par mes soins. Chaque adoption m'apporte a la fois un sentiment de bonheur et de tristesse de m'en séparer.

mercredi 16 novembre 2011

Naissance de Manolo le pirate et celle d'Alfonzo.











La naissance de Manolo le pirate de 19cm.et celle d' Alfonzo 37cm. Exceptionnellement je leurs ai donné un prénom.

vendredi 4 novembre 2011

expo Carouge Genève


> Centenaire, l’ours en peluche fait encore rêver
> EXPOSITION | Collectionneurs, créateurs et «arctophiles» se
> retrouveront ce week-end pour célébrer leur héros
>
>
> Anne-Marie, Rita, Bernard et Nicole
> Emotions et émerveillement au programme de ce week-end carougeois,
> avec la 12e exposition d’ours en peluche. Une mascotte qui a
> traversé le siècle dernier et attire toujours des centaines de
> passionnés. «L’ours est un peu le confident, celui qui va éponger
> les pleurs ou partager les joies, explique Nicole Antenen, créatrice
> d’ours en peluche depuis plus de dix ans. Enfant, j’en ai rêvé, en
> vain. Un jour, j’ai découvert un cours de fabrication. Depuis, j’en
> confectionne des dizaines par année. Tous différents et uniques.»
>
> Une diversité que l’on retrouvera sur les stands des onze exposants
> tous mordus de ce sympathique plantigrade. «Il y en a des petits,
> des grands, des doux, des lourds, explique Anne Marie Zweifel,
> créatrice de cette exposition carougeoise avec Rita Akkayan, en
> 2001. Il y a mille raisons d’aimer les ours de 0 à 115 ans»,
> plaisante celle qui prépare minutieusement les étals. D’un sac, elle
> extirpe une jambe, un bras et un museau. «Je l’ai préparé, il ne
> reste plus qu’à le monter.»
>
> Des pièces rares
> S’il plaît aux enfants, le bon vieux nounours n’est pas qu’un jouet.
> Des centaines de collectionneurs se pressent chaque année aux
> expositions internationales pour dénicher la perle rare. Certaines
> pièces s’arrachent à plusieurs milliers de francs. «Au début, je les
> collectionnais, explique Rita Akkayan. Puis à l’âge de la retraite,
> je me suis mise à en créer et à parcourir les expositions en
> Allemagne, à Paris et en Suisse.»
>
> Les techniques de fabrication sont nombreuses et, selon les
> spécialistes genevois, c’est en Allemagne que l’on trouve les tissus
> les plus adéquats. «On travaille avec des matériaux très différents.
> De la laine, des granules d’acier ou de quartz, de la laine de bois,
> des mohairs ou des tissus mélangés. Et les articulations sont très
> techniques. Sans oublier les finitions, qui laissent libre cours à
> l’imagination des créateurs.»
>
> Au début du XXIe siècle, l’ours en peluche est donc toujours très
> tendance. Les rayons des magasins en témoignent. La chancelière
> allemande, Angela Merkel, n’a d’ailleurs pas hésité à offrir un
> nounours à Nicolas Sarkozy pour la naissance de sa petite Giulia. Un
> symbole en Allemagne, où l’ours est la carte de visite de Berlin.
>
> L’épargné de Roosevelt
> Pourtant, l’ours en peluche n’est pas né en Allemagne. Du moins pas
> son histoire. «C’est bien la marque allemande Steiff qui a créé le
> premier, en 1905, précise Bernard Gysin, expert et collectionneur
> averti. Mais cette création est née d’une anecdote américaine. Lors
> d’une partie de chasse, le président Theodore Roosevelt avait refusé
> de tirer sur un bébé ours. Donnant ainsi le nom de Teddy-bear.»
>
> «Une histoire d’ours» 4, 5 et 6 novembre, salle de la Cure, 20, rue
> du Collège, Carouge.
>

vendredi 28 octobre 2011

Mes dernières nouveautés


Une partie de mes collections de la faïencerie de Sarreguemines (décor Jardinière, fin XIXème s.))


Sofi, une de nos compagnes à quatre pattes

                                                                            

                                                                                 

Mes mini teddy bears (11 à 15 cm.)